biologie


Voici une série de vidéos qui démontre que l’évolution n’est basée sur aucun principe scientifique. En se servant des fossiles, les chercheurs espéraient trouver une explication de cette théorie, toutefois, ils n’ont rien trouvé. Les fossiles prouvent sans aucun doute que les espèces vivants sur Terre n’ont jamais subit un moindre changement et qu’elles ne se sont pas développées les unes des autres. Plusieurs domaines, microbiologie, paléontologie et biomathématique ont apporté, d’autres preuves réfutant la théorie de l’évolution.

Ce documentaire est intéressant et très captivant. Vous serez rivés sur vos écrans si vous l’écoutez !

VincentLefebvre (scientuss)

À première vue, ce site internet à l’air comme tous les autres sites du gouvernement canadien, avec beaucoup d’information. Toutefois, une section de ce site possède un babillard interactif expliquant diverses notions académique. Un tableau périodique interactif, un microscope, l’astronomie et la biologie sont des matières offerts dans ce babillard.

L’utilisation de ce site internet, dans les classes du secondaire, peut aider les élèves visuels à mieux comprendre les matières. Les jeunes aiment mieux les animations que les images dans les manuels scolaires. De plus, pour chaque partie, un petite description accompagne l’image. Bref, c’est un site intéressant pour l’apprentissage des jeunes.

http://www.nrc-cnrc.gc.ca/fra/education/index.html

VincentLefebvre (scientuss)

Tel que mentionné dans mon message précédent, je tiens à vous présenter le projet : Mission Antarctique.

Ce projet est un exemple vivant des applications qu’un enseignant peut faire pour présenter certaines notions parfois difficiles à visualiser comme les changements climatiques.

C’est de septembre 2005 à novembre 2006, que l’équipage du Sedna IV a mené une importante mission scientifique et cinématographique. Douze personnes se sont engagées sous la gouverne de M. Jean Lemire dans une expédition qui sort de l’ordinaire, dans une aventure humaine qui les a mené jusqu’au bout de la planète, en Antarctique, pour y mesurer les effets des changements climatiques.

Au total, c’est 430 jours d’une incroyable aventure suivie par plus de 750 000 visiteurs.

De ces 750 000 visiteurs, on peut compter bon nombre provenant des écoles secondaires du Québec. À travers son programme pédagogique, l’équipage du Sedna IV a offert des vidéoconférences à de nombreuses écoles, permettant ainsi à des milliers de jeunes de suivre la Mission en direct. L’objectif était de sensibiliser les jeunes au problème du réchauffement de la planète et de les encourager à trouver des solutions concrètes pour y remédier.

De nombreux gestes ont été posés et de nombreuses actions entreprises. Découvrez les projets écologiques mis en place par les écoles en visitant le site de la mission :

http://www.radio-canada.ca/sedna/?p=/spip/sommaire.php3?lang=fr  

MathieuLacasse (sciencemateo)

 

Il était temps diront certains scientifiques. Les États-Unis d’Amérique tirés par leur nouveau président Barack OBAMA changent leur fusil d’épaule.

OBAMA ne ferme plus la porte à la science et à la théorie de Charles Darwin. Président BUSH refusait de croire et même d’écouter ce que les scientifiques voulaient lui dire. Obama dit dans son message à la Nation que les USA doivent laissé leur idéologie de côté.

Les scientifiques ne sont pas des ennemis qui veulent saboter les croyances des citoyens, mais plutôt des personnes qui recherchent des faits, des personnes qui cherchent des explications, des personnes qui cherchent la VÉRITÉ.

Président OBAMA veut supporter les scientifiques dans leurs recherches. Il veut aussi investir dans l’éducation pour former de nouveaux scientifiques et de nouveaux ingénieurs.

Il dit que si les Américains peuvent devenir des leaders, ils pourront vivre en paix et avec une meilleure prospérité.

Président Obama en profite même pour souligner l’anniversaire du défunt Charles Darwin…

 

Tel que le dirait un autre scientifique connu : Un petit pas pour l’Homme, Un grand pas pour l’Humanité.

MathieuLacasse (sciencemateo)

Schéma de la thèse darwinienne

CharlesRobertDarwin

DARWIN Charles Robert [1809-1882]

2009: L’ANNÉE DARWIN

Vous n’êtes pas sans savoir que Darwin a publié, il y a 150 ans un ouvrage : On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or The Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life. Cette année 2009 souligne ainsi les 150 ans de sa publication majeure ainsi que sa naissance, il y a 200 ans.

 

 

 

La vie du plus célèbre des naturalistes anglais n’est pas de tout repos. Auteur de la théorie de la descendance modifiée par le moyen de la sélection naturelle « théorie de l’évolution », il n’était pas sans savoir que ses écrits changeraient le monde à jamais.

Fils de Robert Waring Darwin de Susannah Wedgwood, Charles Robert Darwin est né en 1809. 

Il étudia la médecine à Édimbourg, puis de théologie à Cambridge où il s’adonne à sa passion des insectes et devient le bras droit du botaniste John Stevens Henslow. Le jeune Charles est reçu bachelor of Arts en 1831, et part explorer le nord du Pays de Galles en compagnie du géologue Adam Sedgwick, également professeur à Cambridge.

 À son retour, il s’embarque pour un voyage autour du monde, le 27 décembre, en qualité de naturaliste non appointé, à bord du vaisseau le Beagle. 

 

SON VOYAGE  [27 décembre 1831 –  2 octobre 1836] :

Il explore ainsi l’archipel du Cap-Vert , les côtes de l’Amérique du Sud (où ses recherches paléontologiques le conduisent à mettre en évidence de plus en plus nettement la ressemblance entre représentants fossiles et vivants de certains types de Mammifères), la Terre de Feu, les îles Falkland, l’île Chiloé, la Cordillère des Andes, les îles Galápagos (où il a l’intuition précise des processus qui conduisent à la distribution géographique des organismes et examine certaines modalités de ce qui lui apparaîtra bientôt comme étant la naissance d’espèces nouvelles à partir de formes souches), Tahiti (où il observe un récif de corail et réfléchit au processus de sa formation), la Nouvelle-Zélande, l’Australie, la Tasmanie, l’île Maurice et Le Cap.

SES ÉCRITS:

Il rapporte de ce voyage qui a duré presque cinq ans (jusqu’au 2 octobre 1836) un Journal of Researches qui contient la plupart des observations et des matériaux propres à l’élaboration de sa future théorie.

Publication en 1839 du Journal of Researches 

Publication en 1842 de son ouvrage sur les récifs de corail, The Structure and Distribution of Coral Reefs.

Publication en 1844 de son ouvrage sur les îles volcaniques, Geology du Voyage.

Publication le 24 novembre 1859 de sa théorie et de ses recherches, On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or The Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life.

Publication en 1862 d’un livre sur la fécondation des Orchidées.

Publication en 1868 de The Variation of Animals and Plants under Domestication. 

Publication en 1871 d’un second ouvrage majeur sur la théorie de la « pangenèse », The Descent of Man, and Selection in relation to Sex.

Publication de la 6e édition, en 1872  (regardée comme définitive) de The Origin, et The Expression of the Emotions in Man and Animals.

Darwin écriva en 1876 une Autobiographie à l’intention de ses enfants

 

SA FIN:

Il s’éteint le 19 avril 1882, à Down. 

La dépouille de Darwin, est inhumée une semaine plus tard, dans le « Panthéon anglais » de l’Abbaye de Westminster. Toutes les personnalités connues sont présentes.

 

Sciencemateo (MathieuLacasse)

Querelle à Ottawa, le ministre Goodyear soulève des inquiétudes quant à son opinion sur la théorie de Charles Darwin. Politique, religion et science… assez pour diviser un pays!

Journal la Presse (18 mars 2009)
(Ottawa) « [L]e ministre des Sciences et Technologies, Gary Goodyear, maintient l’ambiguïté sur sa position quant à la théorie de l’évolution.

En entrevue au quotidien Globe and Mail, hier, le ministre Goodyear, à qui le milieu scientifique reproche des compressions dans les budgets de recherche, a refusé de dire s’il croyait en la théorie de l’évolution de Charles Darwin.

«Je ne répondrai pas à cette question. Je suis chrétien et je ne crois pas que ce soit approprié de poser une question sur ma religion», a dit M. Goodyear, chiropraticien de formation, député conservateur depuis 2004, nommé ministre d’État pour les Sciences et Technologies en octobre 2008.

En fin d’après-midi, hier, le ministre Goodyear a tenté en rajuster le tir. En entrevue au réseau CTV, il a indiqué que oui, il croyait à l’évolution, avant d’ajouter: «Nous évoluons, chaque jour, chaque décennie; l’intensité du soleil, les espadrilles, les talons hauts, nous évoluons face à notre environnement», laissant une ambiguïté quant à sa position sur la théorie de Charles Darwin. Il a par ailleurs répété qu’il considérait que la question n’était pas «pertinente» et qu’il était dévoué aux sciences et technologies.

Déclaration inquiétante, mais peu surprenante pour le député du Bloc québécois de Joliette, Pierre Paquette. «Les conservateurs ne veulent pas admettre qu’au plan scientifique, c’est la théorie actuellement qui explique le mieux l’évolution des espèces sur la planète. Ça, ça crée un malaise, estime M. Paquette. Provenant du ministre des Sciences et des Technologies, c’est encore plus inquiétant, cette forme de dogmatisme.»

Le député bloquiste rappelle que les conservateurs ont bloqué à la Chambre des communes l’adoption d’une motion, début mars, qui soulignait le 200e anniversaire de naissance de Charles Darwin. Selon M. Paquette, plusieurs députés conservateurs mettent sur un pied d’égalité la théorie de l’évolution et le créationnisme.

S’il critique vivement la politique des conservateurs en matière de recherche scientifique, le député libéral et ancien astronaute Marc Garneau estime qu’il est actuellement impossible de faire un lien entre les réductions de budget dans le financement de la science et les croyances religieuses des membres du gouvernement.

«Sans doute qu’il y a des créationnistes dans ce gouvernement. Il y en a peut-être dans d’autres partis. Il faut respecter les croyances des individus tant que ça ne nuit pas à la politique du pays», soutient M. Garneau, qui s’est toutefois étonné des déclarations du ministre Goodyear.

«Si c’est le cas qu’il ne croit pas à l’évolution, je suis perplexe parce que la réalité scientifique est évidente», a-t-il souligné.

Pour le politologue de l’Université de Sherbrooke, Jean Herman Guay, les déclarations ambiguës du ministre Goodyear témoignent d’un héritage conservateur «enraciné dans la pensée religieuse» qui provient du «vieux fond réformiste», très présent dans les troupes de Stephen Harper.

«C’est un peu renversant de voir que ce fond très conservateur qu’on retrouve chez les républicains américains soit assez présent, et pas uniquement chez les militants, mais chez les ministres canadiens», s’étonne toutefois M. Guay.

«S’il fallait que ça affecte l’attribution des contrats ou l’attribution des programmes de recherches, ça serait dangereux», met-il en garde.»

MathieuLacasse (sciencemateo)