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L’organisme ESF Enseignant Sans Frontières est une association suisse sans but lucratif.

L’organisation offre la possibilité à des enseignants diplômés de faire de la coopération pédagogique.

En tenant compte de l’histoire et de l’identité culturelle de chaque pays, l’association encourage les différentes pratiques et réflexions pédagogiques en accord avec les programmes officiels en cours dans les pays concernés. Le but est d’échanger des expériences didactiques, de construire et d’expérimenter dans les classes des pratiques adaptées et susceptibles de conduite à des innovations.

L’implantation de TIC en Afrique est un projet qui peut en intéresser plusieurs. Grâce à un organisme comme celui-ci, vous auriez la chance de partager vos connaissances.

De plus, vous auriez l’occasion d’observer une autre façon de fonctionner, dans un système scolaire totalement différent avec une réalité bien spéciale.

Pour plus de renseignements, je vous invite à visiter le site suivant:
http://www.enseignantssansfrontieres.org/

En plus de ESF, je veux vous introduire une autre organisation internationale : Ingénieur Sans Frontières (ISF)

Cette organisation à une « section » à l’Université Laval et propose différents volets:

1) Conférence « sensibilisation dans les écoles » …que de futurs enseignants peuvent très bien faire!! 🙂

2) Volet formation

3)Activités sociales

4) Séjours

ISF: c’est depuis l’an 2000 : plus de 20 000 membres …

Vous pouvez suivre, à toute les semaines sur le site de ISF ULAVAL ce qu’il se passe sur le terrain.

http://www.ulaval.ewb.ca/

ou le site officiel : Engineers Without Borders : http://www.ewb.ca/en/index.html

MathieuLacasse (sciencemateo)

Tel que mentionné dans mon message précédent, je tiens à vous présenter le projet : Mission Antarctique.

Ce projet est un exemple vivant des applications qu’un enseignant peut faire pour présenter certaines notions parfois difficiles à visualiser comme les changements climatiques.

C’est de septembre 2005 à novembre 2006, que l’équipage du Sedna IV a mené une importante mission scientifique et cinématographique. Douze personnes se sont engagées sous la gouverne de M. Jean Lemire dans une expédition qui sort de l’ordinaire, dans une aventure humaine qui les a mené jusqu’au bout de la planète, en Antarctique, pour y mesurer les effets des changements climatiques.

Au total, c’est 430 jours d’une incroyable aventure suivie par plus de 750 000 visiteurs.

De ces 750 000 visiteurs, on peut compter bon nombre provenant des écoles secondaires du Québec. À travers son programme pédagogique, l’équipage du Sedna IV a offert des vidéoconférences à de nombreuses écoles, permettant ainsi à des milliers de jeunes de suivre la Mission en direct. L’objectif était de sensibiliser les jeunes au problème du réchauffement de la planète et de les encourager à trouver des solutions concrètes pour y remédier.

De nombreux gestes ont été posés et de nombreuses actions entreprises. Découvrez les projets écologiques mis en place par les écoles en visitant le site de la mission :

http://www.radio-canada.ca/sedna/?p=/spip/sommaire.php3?lang=fr  

MathieuLacasse (sciencemateo)

Cet article ne s’inclut pas dans le débat sur l’évolutionnisme ou le créationnisme à la base, mais l’aspect scientifique traité par les membres de ce projet est très intéressant pour de futurs enseignants en sciences.

Défi Québec Monde propose un accès virtuel privilégié qui permet aux jeunes de tous âges de découvrir plusieurs régions du monde qui sont au coeur des grands défis environnementaux de l’avenir.

Pascale Otis, biologiste et journaliste scientifique travaille sur ce projet depuis plusieurs années. Avant cette belle aventure, elle participe au projet de Mission Antarctique (qui sera le sujet de mon prochain article) avec M. Jean Lemire.

Défi Québec Monde donne l’occasion aux élèves, par le biais d’un échange téléphonique (ou via le web) de poser leurs questions relatives à la faune terrestre et marine, à la vie à bord du voilier et à la problématique des changements climatiques.

Défi Québec Monde propose aussi une panoplie d’activités liées au programme scolaire ainsi que faire des conférences dans les écoles intéressées.

Je vous invite à visiter ce site très intéressant:

http://www.defiquebecmonde.com/index.html

MathieuLacasse (sciencemateo)

Après avoir navigué sur le web, j’ai trouvé un article pas mal intéressant. À vrai dire c’est un quiz.

Selon-vous, que représente cette image?

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Première page de la prestigieuse revue scientifique SCIENCE parue le 27 février dernier, cette image est tirée d’un article écrit par Matthew Bennett et représente une topographie d’une couche de sédiment fossilisée. On peut y voir des empreintes de pas trouvées au Kenya, qui datent de plus de 1.5 millions d’années.

Il est possible de distinguer l’empreinte d’un pied droit et d’un pied gauche.

 

Cet article que j’ai trouvé sur le blog http://darwin2009.blog.lemonde.fr/ est très intéressant, pour des étudiants à qui l’ont voudrait donner l’appui de la théorie « controversée » de Darwin, puisqu’il vient, en image et avec une simple question démontrer l’acharnement du travail de Darwin, sa Théorie de l’Évolution.

Ci-bas sont les explications fournies dans le blog présenté ci-dessus.

L’une des inventions les plus importantes de l’évolution humaine est le pied. Le pied humain est “optimisé” pour la marche : talon bien rembourré, voûte plantaire médio-latérale (dans le sens de la largeur), gros orteil bien aligné avec les autres. Lors de la marche, l’homme pose d’abord son talon, puis le côté du pied, et enfin les orteils, avant d’appuyer fort sur ses orteils, ce qui crée un effet de levier qui rend la marche rapide et efficace, au contraire d’un singe qui “pose” davantage le pied plutôt que de s’en servir véritablement comme levier…

L’analyse des traces de pas permet d’analyser les aspects dynamiques de cette marche. Les empreintes sont en effet les plus marquées là où l’homme appuie le plus fort, au talon, sur le côté extérieur et au niveau des orteils. Bennett et al. ont analysé quantitativement ces traces de pas d’anciens hominidés (probablement Erectus ou Ergaster), et ont établi qu’elles sont littéralement indistingables de traces de pas d’hommes modernes, contrairement par exemple à des traces de pas d’australopithèques. Cela suggère donc que nos ancêtres du genre homo marchaient vraisemblablement exactement comme nous.

 

MathieuLacasse (sciencemateo)

Bonjour à vous, nous avons réalisé dans le cours ten22149 TIC en enseignement secondaire une CMAP qui explique l’éducation aux médias. Nous vous invitons à voir cette carte conceptuelle.  Dans cette carte seront présentés les différentes licences que nous retrouvons pour la publication de documents (ou plutôt pour la consultation que les gens font après la publication) et toute la polémique sur les droits d’auteurs. Nous pouvons voir qu’avec la venue du web2.0, le copyright normalement de mise n’est plus l’unique licence. D’autres licences plus permisives permettent aux utilisateurs de prendre (selon les restrictions choisies) certaines informations, de les partager. En fait pour une licence, le devoir est de redonner à la communauté.

http://cmap.ulaval.ca/servlet/SBReadResourceServlet?rid=1237927064715_207446472_808&partName=htmltext

MathieuLacasse (sciencemateo)

En bref, cette carte résume ce qu’on retrouve sur Internet (le type de documents). Cette carte donne ensuite quelques pistes qu’il faut vérifier avant d’utiliser un article ou document trouver sur le web comme référence dans un travail. Cette carte montre ce qu’il faut évaluer lorsqu’on veut citer (ou utiliser) un article trouvé sur le web. Elle pourrait être présentée à des élèves du niveau secondaire pour leur indiquer comment évaluer un site web ou un autre document pour faire une recherche par exemple. La carte parle d’elle-même et toute explication supplémentaire serait une répétition. Je vous invite donc à cliquer sur le lien ci-bas.

http://cmap.ulaval.ca/servlet/SBReadResourceServlet?rid=1238438244000_759889790_1078&partName=htmltext

MathieuLacasse (sciencemateo)

 

Il était temps diront certains scientifiques. Les États-Unis d’Amérique tirés par leur nouveau président Barack OBAMA changent leur fusil d’épaule.

OBAMA ne ferme plus la porte à la science et à la théorie de Charles Darwin. Président BUSH refusait de croire et même d’écouter ce que les scientifiques voulaient lui dire. Obama dit dans son message à la Nation que les USA doivent laissé leur idéologie de côté.

Les scientifiques ne sont pas des ennemis qui veulent saboter les croyances des citoyens, mais plutôt des personnes qui recherchent des faits, des personnes qui cherchent des explications, des personnes qui cherchent la VÉRITÉ.

Président OBAMA veut supporter les scientifiques dans leurs recherches. Il veut aussi investir dans l’éducation pour former de nouveaux scientifiques et de nouveaux ingénieurs.

Il dit que si les Américains peuvent devenir des leaders, ils pourront vivre en paix et avec une meilleure prospérité.

Président Obama en profite même pour souligner l’anniversaire du défunt Charles Darwin…

 

Tel que le dirait un autre scientifique connu : Un petit pas pour l’Homme, Un grand pas pour l’Humanité.

MathieuLacasse (sciencemateo)

Schéma de la thèse darwinienne

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DARWIN Charles Robert [1809-1882]

2009: L’ANNÉE DARWIN

Vous n’êtes pas sans savoir que Darwin a publié, il y a 150 ans un ouvrage : On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or The Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life. Cette année 2009 souligne ainsi les 150 ans de sa publication majeure ainsi que sa naissance, il y a 200 ans.

 

 

 

La vie du plus célèbre des naturalistes anglais n’est pas de tout repos. Auteur de la théorie de la descendance modifiée par le moyen de la sélection naturelle « théorie de l’évolution », il n’était pas sans savoir que ses écrits changeraient le monde à jamais.

Fils de Robert Waring Darwin de Susannah Wedgwood, Charles Robert Darwin est né en 1809. 

Il étudia la médecine à Édimbourg, puis de théologie à Cambridge où il s’adonne à sa passion des insectes et devient le bras droit du botaniste John Stevens Henslow. Le jeune Charles est reçu bachelor of Arts en 1831, et part explorer le nord du Pays de Galles en compagnie du géologue Adam Sedgwick, également professeur à Cambridge.

 À son retour, il s’embarque pour un voyage autour du monde, le 27 décembre, en qualité de naturaliste non appointé, à bord du vaisseau le Beagle. 

 

SON VOYAGE  [27 décembre 1831 –  2 octobre 1836] :

Il explore ainsi l’archipel du Cap-Vert , les côtes de l’Amérique du Sud (où ses recherches paléontologiques le conduisent à mettre en évidence de plus en plus nettement la ressemblance entre représentants fossiles et vivants de certains types de Mammifères), la Terre de Feu, les îles Falkland, l’île Chiloé, la Cordillère des Andes, les îles Galápagos (où il a l’intuition précise des processus qui conduisent à la distribution géographique des organismes et examine certaines modalités de ce qui lui apparaîtra bientôt comme étant la naissance d’espèces nouvelles à partir de formes souches), Tahiti (où il observe un récif de corail et réfléchit au processus de sa formation), la Nouvelle-Zélande, l’Australie, la Tasmanie, l’île Maurice et Le Cap.

SES ÉCRITS:

Il rapporte de ce voyage qui a duré presque cinq ans (jusqu’au 2 octobre 1836) un Journal of Researches qui contient la plupart des observations et des matériaux propres à l’élaboration de sa future théorie.

Publication en 1839 du Journal of Researches 

Publication en 1842 de son ouvrage sur les récifs de corail, The Structure and Distribution of Coral Reefs.

Publication en 1844 de son ouvrage sur les îles volcaniques, Geology du Voyage.

Publication le 24 novembre 1859 de sa théorie et de ses recherches, On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or The Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life.

Publication en 1862 d’un livre sur la fécondation des Orchidées.

Publication en 1868 de The Variation of Animals and Plants under Domestication. 

Publication en 1871 d’un second ouvrage majeur sur la théorie de la « pangenèse », The Descent of Man, and Selection in relation to Sex.

Publication de la 6e édition, en 1872  (regardée comme définitive) de The Origin, et The Expression of the Emotions in Man and Animals.

Darwin écriva en 1876 une Autobiographie à l’intention de ses enfants

 

SA FIN:

Il s’éteint le 19 avril 1882, à Down. 

La dépouille de Darwin, est inhumée une semaine plus tard, dans le « Panthéon anglais » de l’Abbaye de Westminster. Toutes les personnalités connues sont présentes.

 

Sciencemateo (MathieuLacasse)

Savez-vous qu’aux États-Unis, les personnes personnes adoptant les théories du créationnisme ont construit un musée à l’honneur de leurs théories. En effet, au Kentucky, un ancien professeur de science naturel à fondé un musée où l’on voit le jardin d’édenne, tel qu’il a vraiment existé. Le créateur du musée soutiens que tout ce qui est présententé est soutenu par des recherches scientifiques.

Des visiteurs y sont intérogé et donne leur point de vu. Il est important de savoir que 44% de la population Étatsunienne rejette la théorie de l’évolution.

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