Ce blog est très intéressant puisqu’il fait le parallèle entre l’enseignement et l’éducation interculturelle. Le blogue analysé n’explique pas l’évolutionnisme ou le créationnisme, mais il est important de creuser un peu plus loin pour bien comprendre les différents points de vue. Ce blogue explique certaines notions en rapport avec l’enseignement et la culture. De plus, avec le phénomène de mondialisation, un enseignant peut se poser plusieurs questions. Pourquoi au Canada et en Europe les programmes éducatifs prônent l’Évolutionnisme tandis que certains États américain défendent l’enseignement de cette philosophie et obligent le Créationnisme. Quels sont les droits des enseignants, des élèves?
4 éléments:
1) Dans un article du 11 avril 2006, il est dit qu’on ne peut jamais dissocier langue et culture.
Pour l’enseignant, la dimension interculturelle pose une problématique socio-culturelle et pédagogique. Pour démocratiser l’acte d’enseignement, l’enseignant doit faire preuve d’une conscience interculturelle assez lucide pour dissoudre tout agent susceptible de porter atteinte à un groupe-classe hétérogène sur plusieurs plans.
2) Dans un article du 3 février 2008, il est question du débat autour de la culture.
La culture d’un peuple est hérité des ancêtres. Tous les peuples ont une culture. Certaines cultures sont semblables, certaines diamétralement opposées.
Le problème qui se pose comme enseignant est de savoir s’il faut tenir compte des différences pendant les classes ou enseigner de façon neutre et universelle. N’avons-nous pas, nous-mêmes une culture, comment s’assurer de ne pas véhiculer nos idées dans notre enseignement? Comment doit-on interagir, dans le monde entier, à titre d’enseignant, pour harmoniser les rapports interculturels entre les peuples et leur diversité?
3) Dans un article du 1 février 2008, on peut y retrouver un poème intéressant. L’idée générale de ce poème dit que malgré nos différences, pourquoi ne pas vivre ensemble en harmonie. Ce poème est très révélateur pour des futurs enseignants qui devront travailler avec des jeunes de tous les origines.
Je souligne certains passages:
Humains des cinq coins du monde
Que la bonté, l’amour et la paix abondent
Que la philosophie du bien l’emporte
Que des cœurs en pleurs se réconfortent
Que l’humanité s’harmonise à l’entente
Qu’elle évite tant de foyers de mésentente
Réduisons l’exploitation et la contrefaçon
Cherchons de nouvelles conduites qui nous préparent à l’unisson
Restons nous-mêmes et soyons partisans de l’altérité
Vous goûterez aux délices de la diversité
Repensons nos préjugés Soyons souples pour tout partager
Cultivons respect, confiance, tolérance et probité
Si différente soient votre culture et votre identité
Construisons-nous de nouvelles valeurs
Qui assurent à tout un chacun un véritable bonheur
Que l’humanité s’harmonise à l’entente
4) Article du 4 juillet 2007 : La reconnaissance des diplômes dans le monde
Cet article est en lien direct avec la question de l’enseignement universel. Une formation qui mène à un diplôme est soumise à des normes académiques et institutionnelles qui est propre à l’établissement ou au programme qu’elle réfère.
Le problème réside au niveau de la reconnaissance des diplômes obtenus dans certains pays. Les universités acceptent ou refusent des candidats à leur guise. Un étudiant étranger peut confronter des inégalités.
Partout sur Terre on parle de mondialisation, de libre-échange, etc. Qu’en est-il pour le l’éducation. C’est un problème social, politique et économique que les gouvernements du monde entier devront régler.
MathieuLacasse (sciencemateo)
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