googledocs2

Permet de rendre des document, des feuilles de calculs et de traitement de texte accessibles à des contacts sur internet (ou encore à tout le monde) .

Tout le monde peut travailler sur la feuille en même temps ! C’est un avantage pour les travaux d’équipes!

On se retoruve avec une seule copie du travail final. (Lorsqu’on envoit un travail en pièce jointe par e-mail, on se retrouve souvent avec plusieurs versions d’un même travail et on ne sait plus trop comment s’y retrouver.)

On peut avoir accès aux documents peu importe où nous sommes… l’important est d’avoir un ordinateur.

Applications pédagogiques: permet de faire des travaux d’équipes sans se rencontrer.

http://dotsub.com/view/17eaa9f0-787b-4fd8-b1c7-f8d61db2e310

Dans mon wiki personnelle, j’avais écris un article sur le sujet. je vous invite à le lire en cliquant sur le lien suivant:

http://fr.curriculumforge.org/_3_mini_textes_B%C3%A9langer_

Si mlaheureuement vous manquez de temps pour lire tout le texte, je vous laisse ici un exemple tiré de ce dernier qui illustre bien l’utilité de Google Docs:

Josée, Caroline et Ginette (noms fictifs) ont un long travail d’histoire à remettre dans quelques jours. Étant des élèves assidues, elles ont déjà terminé la rédaction du travail . Cependant, elles n’ont pas fait attention à la qualité de la langue lors de la rédaction et doivent maintenant relire tout le travail pour le corriger. Comme elle ne pouvait se rencontrer ce jour là, elles choisissent de corriger le travail chacune de leur côté. Une fois qu’elles ont terminé, elles envoient leur version du travail à leur pairs. Mais voilà qu’elles se retrouvent avec trois travaux différents (puisqu’elles ont toutes omis de corriger quelques fautes). Alors comment tout mettre en commun ? Elles doivent repasser el travail une fois de plus.. malheureusement. Quelle perte de temps ! Avec google doc, elles auraient pu corriger leur travail toute en même temps à partir de leur ordinateur personnel. Elles auraient ainsi obtenu une seule version finale du travail.

 »’Éducation aux médias »’

Qu’est-ce que l’éducation aux médias ?

Les médias sont omniprésents dans notre quotidien en ce début du 21e siècle. On les retrouve partout : journaux, magazines, radio, télévisions, affiches publicitaires, sites web… Il est donc important d’apprendre à développer un sens critique et éthique face à ces médias pour éviter de se laisser berner par certains messages qu’ils contiennent. Dans cette optique, l’éducation aux médias constitue une démarche réflexive entre l’enseignant et ses élèves quant à la pertinence des messages véhiculés par les médias.

« Qui produit ? Dans quel contexte ? Quels sont les intérêts économiques en jeu ? Quelle représentation de la réalité cette publicité ou cette émission, nous livre-t-elle ? À qui le message est-il destiné ? Quelles sont les technologies utilisées et quels effets produisent-elles sur l’auditeur, le spectateur, le lecteur ? »… voici le genre de questions que nous devons nous poser lors d’une telle démarche
(source :http://www.media-awareness.ca/francais/enseignants/education_aux_medias/qu_est_ce_edu_medias.cfm).

L’éducation aux médias vise également à promouvoir la réalisation de messages médiatiques par les élèves, tout en respectant les droits individuels bien entendu.

Pourquoi enseigner l’éducation aux médias ?

L’éducation aux médias présente des avantages à la fois pour les élèves que pour l’enseignant. En voici une liste :

-Elle permet aux élèves d’apprendre de façon motivante car elle leur apprend à développer leur sens critique face à une réalité qui les entoure tous les jours. (Proche des jeunes ; ils peuvent en percevoir facilement l’utilité)

-Permet d’intégrer les apprentissages disciplinaires comme le veux la réforme scolaire puisque l’éducation aux médias touche plusieurs domaines d’étude.

-L’élève construit son propre savoir.

-Permet de développer un comportement responsable chez les élèves. Ouverture à la diversité de culture et de modèle.

À l’adolescence, soit à la fin du primaire et au début du secondaire, les élèves sont amenés à construire leurs propres habitudes, à choisir leur rythme de vie. Ils sont alors confrontés à une foule de choix qui s’offrent à eux par le biais des médias. Ils doivent donc être encadrés afin de faire un choix éclairé quant à leurs habitudes alimentaires par exemple. « C’est l’époque de la recherche du « grand frisson » et des émotions fortes. Les médias permettent de vivre par procuration. Les préférences et les attitudes à l’égard des médias et de leurs contenus deviennent des vecteurs de rapprochement ou d’exclusion. »Source : Citations extraites du texte « L’élève du primaire » de Jacques Piette, professeur au département de lettres et de communications de l’Université de Sherbrooke.

Le site web « Réseau Éducation-Média » propose une foule d’activités pédagogiques très intéressantes:
http://www.media-awareness.ca/francais/enseignants/education_aux_medias/approches.cfm

 

L’ensemble de mes dernières publications portait sur le thème de notre blogue. Cependant, les trois dernière publications, dont celle-ci, traiteront des TIC (technologies de l’information et de la communication) au secondaire. Comme nous avons réalisé ce blogue dans le cadre d’un cours de TIC, je juge pertinent de partager certaines de mes connaissances sur le sujet. Vous trouverez de l’information portant sur deux espaces fort pertinents du web 2.0, soit « Del.icio.us » (présent article) et « Google docs » (article à venir). J’ajouterai finalement au blog un article portant sur l’éducation aux médias; un sujet d’actualité!

Alors je me lance à l’instant avec « Del.icio.us » :

«  »’Qu’est-ce que Del.icio.us et comment ça fonctionne? »’

L’interface du site repose sur du HTML simple, ce qui rend le site facile d’utilisation. Del.icio.us propose également de syndiquer son contenu par RSS et repose sur la technologie des tags. Les tags, sous la forme d’un mot (par exemple : sports, cinéma, Internet, etc) permettent de retrouver facilement les différents sites ayant un rapport avec le mot du tag. Les tags sont choisis par l’utilisateur lui-même, ce qui lui permet de gérer entièrement ses marque-pages. On peut créer aussi des « tag clouds » ou nuages de mots clefs spécifiques à l’ensemble de vos signets.

Si l’on considère un site intéressant, on peut y mettre un signet. Ici, rien de différent à la petite étoile de firefox ou d’explorer. Par contre, Del.icio.us, contrairement aux fournisseurs d’internet qui font une simple liste des sites répertoriés, place les signets (tag) sur un site spécifique où il est possible de les classer par nom, date, etc. Ce qui est avantageux pour un professeur, c’est la possibilité de rendre le site accessible aux élèves. Fini les listes d’adresses compliquées à donner aux élèves lors de recherche, fini les « je n’ai pas trouvé votre site, madame… »! Tout est accessible par Del.icio.us! Appelez maintenant et recevez un hachoir à légume!

 »’À quoi sert Del.icio.us »’

Del.icio.us présente en fait deux volets; un d’ordre « personnel » et un autre d’ordre collectif. Je m’explique:
Dans un premier temps, chaque utilisateur (membre… voir la section « qui peut être membre? ») choisi d’ajouter des sites qu’il juge pertinents à ses « favoris » Del.icio.us. Pour ce faire, il n’a qu’à cliquer sur l’icône Del.icio.us (même principe que l’étoile d’explorer); une fenêtre s’ouvre alors et l’utilisateur place le site sous un onglet (tag) quelconque. Par exemple, si je trouve un site d’anatomie pertinent à mon cours de biologie, je pourrai placer ce site sous l’onglet « biologie » ou encore « anatomie ». Ainsi, quand je serai prête à réviser pour mon examen, je retournerai dans l’onglet « biologie » pour retrouver mon fameux site. Jusque là, outre le principe de « tag », c’est assez semblable au principe de favoris qu’offre la plupart des « browsers ».

C’est en fait le deuxième volet qui vient faire toute la différence: le côté collectif de la chose. Del.icio,us est en fait un réseau de partage d’information. C’est d’ailleurs pourquoi on le qualifie de « Social bookmarking ». Reprenons l’exemple de mon cours de biologie. Malheureusement, le site que je jugeais pertinent il y a 2 semaines n’a en fait aucun lien ave la matière à l’étude. Après quelques minutes de panique non justifiée, je me rapelle de l’aspect social du site web Del.icio.us! En effet, j’ai accès aux sites web que d’autres membres ont « taggés ». Je croise donc les doigts pour que d’autres membres aient un meilleurs jugement que moi pour choisir des bons sites! Il ne me reste plus qu’à cliquer sur le « See all anatomy bookmarks in Popular or Recent. » et le tour est joué!
L’essence même du « social bookmarking » réside en fait dans ce partage d’information sur le web.

 »’Qui peut s’en servir? »’

N’importe qui… À la condition de posséder un ordinateur avec une connexion internet. Del.icio.us peut être utilisé par toute personne qui désire organiser ses favoris et élargir ses connaissances en consultant les favoris de personnes partout à travers le monde.
Que faut-il pour s’en servir?
Comme je viens de le mentionner, il ne faut qu’un ordinateur avec une connexion internet et de la bonne volonté ! Il faut sans perdre un instant créer un compte (gratuit) qui ne requiert qu’une quelconque identité! »
(Ce texte est tiré de mon wiki pesonnelle.)

Je vous invite maintenant à visionner la vidéo qui suit. Elle explique en détails et simplement le fonctionnement de Del.icio.us.

De plus, si vous souhaitez vous inscrire à Del.icio.us, vous pouvez le faire en cliquant sur le lien suivant : [http://delicious.com/ Del.icio.us]

Qu’est ce que le créationnisme?

Le créationnisme est basé sur la croyance que la terre, et par conséquent l’univers, ont été créés par Dieu tel que le raconte la bible. Certaines religions partagent ces dires, tandis qu’on peut lire dans « Le Problème de l’incroyance au XXIe siècle » écrit par Lucien Febvre, que ce qui est relaté dans les écrits de la création, est tout à fait dénué de sens, donc impossible.

 La théorie de Darwin, élaborée à partir de l’évolution des espèces, incluant l’homme, est très répandue à travers le monde. Non seulement approuvée par la communauté scientifique, elle est, depuis 1893, bien reçue par l’église catholique, représentée à l’époque par le pape Léon XIII, qui parle de la doctrine de l’inspiration par l’Esprit Saint de la bible. Comme quoi la science ne peut être en contradiction avec les écritures saintes.

Plus tard, les papes Jean-Paul II et Benoît XVI ne s’opposeront pas aux théories de l’évolution

Le créationnisme est né en réaction à l’évolutionnisme. En Europe, on enseigne l’évolution comme théorie scientifique reconnue. Aux États-Unis, en 1920, des militants créationnistes s’opposent à l’enseignement de la théorie de Darwin. Qui convaincra qui? Que faut-il comprendre à travers ces écrits? Tout dépend de l’interprétation que le lecteur peut en faire.

Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9ationnisme

 Évolutionnisme vs Créationnisme… Voilà ce que j’ai cliqué sur Google pour obtenir une vidéo qui m’a impressionnée. Elle est très intéressante. Je vous incite donc fortement à y jeter un coup d’œil :

(Il s’agit d’une vidéo daily motion et j’ai de la difficulté à la mettre directement sur cette page alors je vous invite à cliquez plutôt sur le lien suivant:http://www.dailymotion.com/video/x4kgki_evolutionnisme-vs-creationnisme-13_tech)

Voici un bref résumé de cette vidéo qui vaut le détour :

Alors que la plupart des scientifiques d’aujourd’hui s’entendent pour dire que l’évolutionnisme est le théorie la plus probable, plusieurs autres (dont les membres du clergé) jugent que cette théorie est truffée d’ambiguïté et de sujets sombres qui implique l’intervention d’un créateur : Dieu.

Qui a raison? Qui a tort? On ne le saura peut-être jamais avec certitude absolue mais il est bien d’analyser les deux côté de la médaille.

Laquelle de ces deux théories devrait donc être enseignée à l’école? Certains parents croyants s’opposent à l’enseignement de l’évolutionnisme alors que d’autres croient qu’il n’est pas approprié de traiter du créationnisme en cours de sciences. Alors comment plaire à tout le monde? C’est un véritable de débat actuellement aux Etats-Unis!

 

Par opposition au Darwinisme (article précédent), qu’est ce que le Lamarckisme ?

 

Jean-Baptiste de Lamarck a publié sa théorie au début du 19e siècle, soit avant les publications de Darwin. Aujourd’hui, avec les récentes découvertes portant sur l’épigénétique nous poussent à croire que la théorie de Lamarck avait peut-être un fond de vérité.

 

Lamarck croyait que le besoin crée l’organe… En effet, il propose que de génération en génération, les individus d’une même espèces d’adaptent progressivement à leur environnement. L’exemple le plus connu de la théorie de Lamarck est celui du cou de la girafe.

 

Selon Lamarck, le cou de la girafe s’est progressivement allongé avec le temps. Comme la girafe se nourrit dans les arbres, il pense que la girafe a du allonger son cou pour aller chercher la nourriture qui se faisait de plus en plus rare (et donc qui se trouvait de plus en plus haute dans les arbres).  Pendant la vie d’un individu, son cou grandissait légèrement et celui-ci transmettait cet avantage acquis à ses descendants. Ainsi le cou s’allonge tranquillement de générations en générations pour s’adapter aux besoins de l’individu.

 

girafe_lamark

Ainsi la différence principale entre le Darwinisme et le Lamarckisme est l’existence ou non des mutations. Darwin propose que les variations viennent de mutations au hasard alors que Lamarck suggère que les individus ont la capacité de se transformer légèrement pendant leur vie pour transmettre ces transformations à leur descendants.

Le Darwinisme est un terme dérivé du très connu Charles DARWIN, dont je viens tout juste de vous parler dans l’article précédent. Darwin était un naturaliste anglais qui a élaboré une théorie de l’évolution fermement défendue par les scientifique encore aujourd’hui : l’évolutionnisme. Cette théorie, par opposition au Lamarckisme, prône un principe de sélection naturelle.

Je m’explique : Depuis toujours, certaines mutation surviennent  dans les gènes des êtres vivants. Ces mutations, tout à fait naturelles, entraînent de légères variations des caractères chez les individus. Par exemple, le cas très connu de la phalène du boulot : La phalène du boulot était un papillon blanc il y a de cela un bon moment. À cette époque, leur couleur blanche les avantageait puisque les papillons se camouflaient plus facilement sur l’écorce des boulots. Parfois, certaines phalènes apparaissaient avec un phénotype différent : elles étaient noires. Mais la nature les a rapidement éliminé puisque, étant noires, elles étaient plus facilement visible sur les arbres et les prédateurs les mangeaient rapidement ! Cependant, tout a chamboulé avec l’arrivée de la révolution industrielle. La population a noircie l’écorce des boulots. Les phalènes blanches devenaient plus facilement repérable alors que les noires se camouflaient plus facilement. La nature a une fois de plus fait son travail : elle a permis aux quelques phalènes noires mutantes de survivre alors que les blanches ont disparu rapidement. La nature permet aux mieux adaptés de survivre ! C’est le principe de la sélection naturelle.

Il existe également la sélection sexuelle rattachée à la théorie de Darwin. Il s’agit du même principe fondamental que la sélection naturelle mais la sélection se fait cette fois ci par les partenaires sexuels. Ainsi, un orignal ayant un plus gros panache sera davantage choisi par les femelles et laissera davantage de descendant à long terme. Cependant, une trop gros panache présente un désavantage en forêt… l’animal doit pouvoir marcher entre les arbres ! La sélection naturelle élimine donc les trop gros panaches. Un mélange entre les deux types de sélections résulte donc en un panache de taille moyenne !

Lien pertinent: http://fr.wikipedia.org/wiki/Darwinisme

darwin

Source de l’image:http://ecx.images-amazon.com/images/I/51QP4WG3T1L.jpg

Commentaires suite à la lecture de l’article: « Reaction to Darwin’s theory » sur le site:

http://en.wikipedia.org/wiki/Reaction_to_Darwin’s_theory

La publication de « On the Origin of Species » par Charles Darwin a suscité beaucoup de controverse en 1859. En effet, l’église occupait encore une place importante dans al société à cette époque. Alors que certains étaient en total désaccord avec la théorie prétextant qu’elle faisait ombre à une création divine, d’autres affirmaient que l’évolutionnisme tel qu’expliqué par Darwin était un processus judicieusement créé par Dieu.

De nombreux débats ont eu lieu suite à la publication de Darwin. Le plus grand de ces débats fut celui de British Association for the Advancement of Science à Oxford où Thomas Huxley avait fermement défendu la théorie évolutionniste. Suite à ce débat, il avait d’ailleurs utilisé Darwinisme pour faire campagne contre le clergé dans les écoles de l’époque.

Les écrits relatent que Darwin étant pour sa part malade, il n’a pas participé aux grands débats.

Pour ceux qui ne connaissent pas la théorie de Darwin, voici une vidéo qui l’explique en détails :

 

Alors que je naviguais sur le web, j’ai dénicher un blogue qui traitait de sujets semblables aux nôtres. (pour visiter ce blogue, cliquez sur l’hyperlien suivant: http://www.croixsens.net/creation/bigbang.php. Il a donc immédiatement suscité mon attention. Un texte m’a particulièrement intéressé. Il portait sur al théorie du Big Bang. Comme j ‘ai récemment assisté à un cours d’astronomie expliquant en détail cette théorie,  j’ai cru bon de vous faire part de mes récents apprentissages. Je tiens cependant à mentionner que je ne ferai ici que relater des faits scientifiques sans toutefois juger qu’il s’agit de la vérité absolue.

Alors voilà : La théorie du big bang n’implique pas une explosion initiale comme le suggère son nom. On parle ici plutôt d’une expansion engendrée d’elle-même, sans impulsion initiale. Nous savons aujourd’hui que l’univers est en expansion. Les objets s’éloignent du « centre » de la galaxie. Mais alors depuis quand ces objets dérivent-ils vers les confins de l’univers ?

Les scientifiques estime ce temps à environ 30 milliards d’années. En effet, on estime que si on remonte dans le temps, l’univers devient de plus en plus petit. Les calculs de la relativité restreinte nous permettent de remonter jusqu’à il y a 30 milliards d’années , pas plus. Ce moment (le plus loins que l’on peut étudier grâce aux lois de la relativité restreinte) est appelé l’instant de Plank. Alors qui avait-il avant le Big Bang? Nous n’en savons toujours rien!… Certaines hypothèses ont été émises mais elles en sont encore au stade d’hypothèses.

Avis à tous, on parle ici de la théorie du Big Bang et non du « bing bang » ou du « big bong »… J’ai vu ces bizarreries lors de mes lectures.

Voici une vidéo qui traite de la théorie du Big Bang:

Résumé en détail d’un blog en lien avec notre blog:

Site du blog:http://www.republiquedebananes.com/?p=5162

4 faits pertinents:

– Un sondage réalisé il y a 1 an affirme que 60% des Canadiens croient que Dieu a joué un rôle dans la « création » des êtres humains. Le pourcentage est encore plus élevé dans les régions rurales. Il faut donc être conscients que nos élèves auront peu-être de la difficulté à croire la théorie de l’évolution… Il ne faudrait pas présenter cette théorie comme une vérité absolue mais bien comme une théorie que défendent certains scientifiques.

Détail du sondage:

34% croit que Dieu guide l’Évolution mais ne rejettent pas la théorie de Darwin

26% Croit que Dieu a créer l’homme tel qu’il est

29% croit que Dieu n’a rien a voir dans la création et l’évolution

-Bien qu’il soit aujourd’hui démontré que l’homme existe depuis quelques milions d’années, certains croyants pensent toujours que Dieu a créé l’homme il y a 10 000 ans comme le dit la bible…. En fait, je tiens à mentionner que, selon mon cous d’histoire des sciences, la bible mentionnerait plutôt que Dieu a créé l’homme il y a 4000 ans.

– image intéressante pour notre blogue ( l’image porte ici un jugement… elle doit être prise avec un grain de sel):

creationism

-Le créationisme est encore fermement défendu en région:

« Des écoles du Grand Nord québécois interdisent à leur personnel enseignant d’expliquer les origines de l’homme sous l’angle de la théorie de l’évolution de Darwin. C’est du moins ce que rapporte le magasine Québec Science »